Interview des stars d’Alarm für Cobra 11

Interview des stars d’Alarm für Cobra 11

Les acteurs de “Cobra 11” Erdogan Atalay, Tom Beck, Katja Woywood et Susan Sideropoulos (« GZSZ ») sont restés en fin de semaine pour une séance photo de TV DIGITAL. Cette dernière, très spectaculaire, a eu lieu dans l’ancien aéroport Rangsdorf de Berlin et a été réalisée par huit cascadeurs de la firme Perfect-Action. Au final : un test concluant ! Les quatre stars sont allées au bout de leurs limites pour cette séance. Enfin, ils ont révélé dans l’interview le secret du succès de la série ainsi que leurs projets.

Séance photo brûlante avec les stars de la série

- TV DIGITAL : Pourquoi avoir accepté de jouer pour la première fois dans « Alarm für Cobra 11 », vous qui êtes la star de « GZSZ » ?

- Susan Sideropoulos : C’est tout simple ! J’ai été fan de la série pendant longtemps. Je n’ai pas hésité longtemps lorsque les producteurs m’ont proposé d’apparaître dans la nouvelle saison dans le rôle de l’agent de police, la courageuse Claudia, et j’ai accepté. Car, tout d’abord, je connaissais déjà les personnes grâce à un tournage précédent. De plus, j’ai droit à une belle mort dans « Alarm für Cobra 11 ». Pour une toute autre raison, le tournage était passionnant. Dans une scène, j’ai pu tirer pour la première fois de ma vie avec une arme, même si ce n’était que sur des portes.

- TV DIGITAL : Monsieur Atalay, comment s’est débrouillée Susan Sideropoulos dans les scènes d’action difficiles ?
- Erdogan Atalay : Très bien. Elle s’est toujours comportée de manière crédible et convaincante. En réalité, on l’aurait bien gardé plus longtemps. Mais malheureusement, elle meurt presque aussitôt.

- TV DIGITAL : Madame Woywood, vous jouez depuis l’épisode 169 la chef des deux enquêteurs. Parvenez-vous à dompter Erdogan Atalay et Tom Beck ?

- Katja Woywood : Vous pouvez être certain d’une chose : je suis très douée pour les apprivoiser. Kim sort certes peu de son bureau mais dernièrement, j’ai tout de même pu tirer avec mon arme pour la première fois dans ma carrière. Les tournages de « Cobra 11 » sont passionnants : c’est un mélange de divertissement et de pics d’adrénaline.

- TV DIGITAL : L’épisode n°200 est maintenant imminent. Monsieur Atalay, que se passe-t-il dans cet épisode phare ?
- Erdogan Atalay : Trois choses. Tout d’abord, nous sommes infectés au cours de l’histoire par un virus mortel qu’une secte a fait circuler en opérant dans le monde entier. Par conséquent, il y a une course contre la montre car nous devons trouver l’antidote qui permet de nous sauver. Ensuite, de nombreuses stars apparaissent dans cet épisode, par exemple Collien Fernandes et Oliver Pocher. Son rôle est particulièrement amusant : il incarne la tête pensante du complot, « Sturmi », qui croit aux ovnis mais qui, par ailleurs, a de réelles connaissances au sujet des essais secrets avec des virus mortels. Enfin, il y a une cascade vraiment spectaculaire qui a de grande chance de gagner le prochain prix Taurus à Los Angeles !

- TV DIGITAL : Le succès de « Cobra 11 » dure de manière ininterrompue depuis 13 ans. Madame Sideropoulos, quel est le secret de ce succès, d’un point de vue féminin ?

- Susan Sideropoulos : Dans « Cobra 11 », l’action est de meilleure qualité que dans toute autre série allemande. De plus, les deux rôles principaux, Semir et Ben, sont des personnages particulièrement sympathiques. Les femmes les admirent parce qu’ils sont séduisants et ont du charme, les hommes les admirent en raison de leur courage.

- TV DIGITAL : Et pour vous Monsieur Atalay, quelle est le secret du succès ?

- Erdogan Atalay : Nous avons toujours évolué dans le développement de l’histoire. « Cobra 11 » est devenu, épisodes après épisodes, un peu plus dramatique, plus crédible et plus professionnel. Cela saute aux yeux tout particulièrement lorsque l’on fait la comparaison avec les anciens épisodes. De plus, il y a un temps de préparation de plus en plus long pour le développement des histoires. Entre-temps, Tom et moi vérifions aussi que l’action qui est décrite dans le scénario est également logique et applicable dans le tournage.

- TV DIGITAL : Pour beaucoup de critiques, « Cobra 11 » est « plat et dépourvu d’idées ». Qu’en pensez-vous ?
- Erdogan Atalay : Celui qui dit ça a lui-même un petit pois dans la tête.

- TV DIGITAL : Quels sont vos films d’action préférés ?
- Erdogan Atalay : Ce sont en majorité des films américains et français. Personnellement, j’aime bien regarder les grands films d’action tels que « Die Hard », « Lethal Weapon », « Terminator » et « Rambo ».

- TV DIGITAL : Cet hiver, « Cobra 11 » va recevoir de la concurrence. Le jeudi soir, Heidi Klum recherche de nouveau des top-modèles (NDT : référence à l’émission « Germany’s Next Topmodel »). Pourquoi les téléspectateurs devraient-ils malgré tout continuer à regarder « Cobra 11 » ?

- Tom Beck : Nous avons tout ce que Heidi possède – et même plus. Chez nous, les belles femmes ne défilent pas en talons hauts sur un podium, on les pourchasse aussi. Chez Klum, on ne trouve pas d’action.

- TV DIGITAL : Dans le privé, avec quelle voiture sillonnez-vous les autoroutes allemandes ?
- Tom Beck : Avec une Seat Cobra !
- Erdogan Atalay : Je le bats avec ma Maserati 3200 GT.
- Katja Woywood : Avec une Smart.
- Susan Sideropoulos : Je conduis une Mini-Cooper mais je roule aussi souvent en vélo, bien sûr par sur l’autoroute avec ce dernier. Bien sûr, je préfère éviter les accidents.

- TV DIGITAL : En tant qu’acteur principal, vous avez effectué dans « Cobra 11 » quantité de cascades. Quelles ont été les meilleures ?
- Tom Beck : Une cascade lors de laquelle, deux jours durant, j’étais suspendu à l’hélicoptère. Dans cette scène, nous extirpons en vol quelqu’un d’une voiture – pendant que je suis suspendu au patin de l’hélicoptère. C’était vraiment génial ! J’ai dû confier ma vie au pilote et il ne me restait plus qu’à espérer qu’il évalue bien la distance qu’il restait avec le sol. S’il était descendu plus bas, je serai en miettes. L’atterrissage lui-même a également été compliqué dans cette scène – car je devais me rétablir sur le patin de l’hélicoptère au bon moment.
- Erdogan Atalay : Les sauts du haut des maisons sont également passionnants. Mais ce qu’il y a de super en premier lieu, c’est de venir après toutes ces années quotidiennement sur le plateau et de trouver encore et toujours une équipe super-motivée.

- TV DIGITAL : Quels sont les points forts de la nouvelle saison ?

- Erdogan Atalay : Il y en a plein ! Il y en a un où nous évoluons sous couvert et où nous campons des dealers de drogue plutôt cools. L’épisode avec Oliver Pocher est super aussi.
- Tom Beck : Tout à fait. Même derrière la caméra, Pocher était aussi un vrai blagueur. On était pliés de rire avec lui.

- TV DIGITAL : Quelles cascades faîtes-vous vous-même ? Lesquelles laissez-vous aux cascadeurs ?
- Erdogan Atalay : Cela dépend. Certaines paraissent simples à première vue, comme par exemple le saut depuis une fenêtre. Pourtant, nous n’avons pas le droit de le faire pour des raisons techniques d’assurance. D’autres, encore une fois, sont permises. En principe, j’aime les cascades et j’ai appris beaucoup de choses ces dernières années.
- Tom Beck : Parfois, il est plus raisonnable d’évaluer ce que l’on est capable de faire. En fin de compte, on peut très bien se briser la nuque.
- Erdogan Atalay : Tout à fait. Même une chute depuis une échelle peut être mortelle. Ou bien on peut se casser le poignet en dérapant.
- Tom Beck : Je ne sauterai jamais à travers une vitre de verre. Je laisse cela aux cascadeurs. Je sais exactement de quoi j’aurai l’air après : couvert d’écorchures ! Nous n’avons pas le droit non plus de faire les cascades d’essais en voiture.

- TV DIGITAL : Comment avez-vous trouvé la séance photo pour TV DIGITAL ?

- Erdogan Atalay : Inhabituelle et passionnante car aucun décor n’a été posé pour la séance photo. L’investissement était important. Ici, tout notre savoir-faire a été requis, depuis le plateau jusqu’aux décors.
- Susan Sideropoulos : Particulièrement lors des cascades.

- TV DIGITAL : Quels sont vos projets futurs ?
- Susan Sideropoulos : Nous œuvrons pour les enfants et les adolescents, « l’Arche ».
- Katja Woywood : Plus de deux millions d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté en Allemagne.
- Tom Beck : « L’Arche » aide les adolescents – et chacun d’eux le mérite.
- Erdogan Atalay : « Cobra for Kids » - c’est notre nouvelle devise !
Remerciement : Merci beaucoup à Bk117 pour la traduction.

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